En cinq ans, 120 personnes se sont formées à ce métier peu banal. Les diplômés exercent dans des secteurs variés : travaux d'inspection et de génie civil en milieu aquatique, plateformes marines, gestion portuaire mais aussi archéologie sous-marine ou cinéma sous-marin...Et les débouchés existent bien en Belgique, Comme l'explique Thierry Van Den Eynde, formateur à l'IFAPME, "nous avons déjà toutes les voies navigables, tous les ports, donc toutes les infrastructures qui sont proches de l'eau, des cours d'eau, des canaux. Nous avons aussi toutes les industries qui utilisent de l'eau pour refroidir, réchauffer, laver épurer". Un scaphandrier pourra donc par exemple travailler pour réparer l'intérieur d'un château d'eau ou aller dans les piscines de refroidissement d'une centrale nucléaire.
Un métier où l'on est seul dans l'eau mais qui est un véritable travail d'équipe. Toute la sécurité, l'alimentation en air du scaphandrier est gérée par deux personnes en surface, deux personnes qui sont en constante communication avec le plongeur.
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