Équipé d’outils classiques, mais aussi d’un détecteur de fuites et d’un analyseur de combustion, le technicien de maintenance a le geste sûr. « De telles chaudières sont complexes et sensibles. Bourrées d’électronique, elles doivent être réglées avec précision. »
Cyril a une solide formation. Pour parfaire ses connaissances, il suit aussi des stages régulièrement organisés par les constructeurs de chaudières pour découvrir les nouvelles technologies. « J’aurais aimé travailler dans l’automobile. J’adore la mécanique, confie le jeune homme, mais on m’a dit que ce n’était pas un métier d’avenir. Alors, j’ai suivi une formation de plombier. » Cyril est entré au Centre de formation des apprentis de l’industrie (CFAI) de Plérin (Côtes-d’Armor). Il y a passé un CAP-BEP plomberie, suivi d’un autre de chauffagiste et d’une formation de dépanneur fuel et gaz, équivalant à un bac pro.
Cyril ne regrette pas son choix de métier. « Je travaille à l’abri, au chaud l’hiver, à l’ombre l’été. J’ai des horaires réguliers et un salaire motivant. » Pour le technicien, l’entretien des chaudières c’est plutôt de la routine.
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