« C'est le seul lycée de France à bénéficier de ce prêt », précise Muriel Vallet, co-gérante, avec son époux Laurent, de la société.
Cette parabole capte l'énergie du soleil de façon intelligente : elle suit sa course. Elle est même capable de se mettre hors service, tête vers le bas et le plus au nord possible, en cas de surchauffe.
Utilisée pour chauffer l'eau qu'on utilise pour la toilette ou la vaisselle, la parabole a besoin de moins d'espace que les panneaux solaires traditionnels. Pour une même énergie produite, la parabole occupe 2 m² contre 6 m².
Une parabole à Brest
La première parabole a été posée en France, la semaine dernière, à Nantes. La seconde le sera à Brest. Les lycéens du secteur énergétique auront peut-être la chance d'y assister. Parmi eux, il y a déjà un chanceux qui effectue son apprentissage dans cet établissement.
« C'est grâce à lui que nous avons pu construire ce partenariat, précise Manuel Alvarez, directeur des travaux au lycée. Pour nos jeunes, c'est un plus. Pour les enseignants également. » Laurent Vallet ajoute : « Cela leur apporte également d'autres perspectives au niveau des énergies renouvelables. »