Lucile, 21 ans, vient de valider son CAP Arts et techniques de la bijouterie-joaillerie à l’Ecole privée de la rue du Louvre (Paris).
A la veille de sa rentrée en BMA (brevet des métiers d’art), elle nous raconte son choix d’orientation, étonnant après un bac S, sa passion pour l’art du bijou, ses projets d’avenir et nous ouvre les arcanes d’une formation très technique.
lucile cap bijouterie joaillerie
Lucile a toujours eu un penchant pour l’artisanat d’art. Elle a ainsi un temps songé à la restauration d’œuvres anciennes, mais cela, d'après elle, ne laisse pas assez de place à "l’expression personnelle". "La joaillerie en revanche, allie tout ce que j’aime : le travail manuel, la création, la mode et une certaine part de rêve, explique-t-elle. Il y a quelque chose de magique à façonner l’objet de son imagination à partir d’une simple plaque de métal."
Lucile fait partie d’une promotion de 30 élèves (deux classes de 15) dont 26 bacheliers, avec un ratio filles/garçons de deux tiers/un tiers. Bien dans ses études et toujours aussi passionnée par la joaillerie, elle s’apprête à effectuer un BMA (brevet des métiers d’arts) dans la même école, pour les deux années à venir. Comme elle, d’autres élèves ont aussi passé un bac S : "comme quoi, mon parcours est original, mais ce n’est pas une exception !"
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