« J’ai commencé à m’intéresser à ce métier au lycée. À part me souvenir que mon grand-père était appareillé, ça ne me disait pas grand-chose. » Pourtant, plus il va en apprendre, plus Timothée Van Hoecke va se passionner pour l’activité d’audioprothésiste. « On dit aussi acousticien, mais le diplôme d’État, c’est audioprothésiste. »
À 22 ans, il décroche ses galons et a ouvert, début décembre, son cabinet à Alençon. Avec une mission qu’il s’est fixée : « changer l’image que les gens en ont et rajeunir ce métier ».
Pour beaucoup de personnes, pousser la porte d’un audioprothésiste est difficile. « On vient souvent ici par dépit. Notre métier est de faire accepter qu’un problème auditif n’est pas insurmontable », glisse Timothée de sa voix douce et posée.
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